VOYANCE OLIVIER

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L’écriture offre également un modèle de permanence. Contrairement à une conversation orale, un mail est en capacité de être prononcé, médité, intégré à son gré. Les clients peuvent ressasser mes avis, les pratiquer à leur manière, et particulièrement les adapter selon de leur évolution. Je leur conseille constamment de tenir un journal où ils évaluent leurs pensées, leurs correction, leurs doutes. L’écriture est un modèle de psychothérapie en soi, une astuce de placer de l’ordre dans ses sentiments, de purifier ses pulsions émotionnelles. À travers leurs informations, je vois aussi leur transformation, relativement souvent réduite mais toujours sensible. Ces échanges écrits sont dans ces conditions un fil conducteur dans leur cheminement personnel. Au fil des années, j’ai appris à ne pas évaluer les perturbations de mes patients. Certaines situations peuvent être irrationnelles, incompréhensibles de l’extérieur, mais chaque personne vit ses propres épreuves avec son histoire, ses croyances et ses phobies. Mon rôle est de les assister là où elles en sont, sans choisir à assujettir mon savoir faire. Je m’adapte à leur rythme, à leur spécificité, tout en leur parvenant à des perspectives nouvelles. C’est un accord subtile entre écoute, guidance et respect de leur autonomie. En tant que tarologue, je ressens aussi une conséquente responsabilité. Les gens viennent me voir avec des exigences, de temps en temps très importantes, et je dois se contraindre à ne pas alimenter des impairs ou des erroné projets. la certitude n’est pas toujours facile à entendre, et il m’arrive de devoir enseigner des choses compliqués, comme la délicat d’une relation ou l’impossibilité d’un projet cher à leur cœur. Cependant, même dans ces instants maudits, j’essaie toujours de trouver une manière de bon augure de procurer le cas, de montrer que chaque subtil porte en elle les germes d’un nouveau apparition. La résilience est une qualité que j’encourage fortement chez mes clients. Apprendre à franchir après un revers, à voir les opportunités là où il n’y avait que des problèmes, c’est là une des plus grandes atouts que l’on soit à même de obtenir.

La dimension émotionnelle de la voyance par les cartes est le plus souvent sous-estimée. Bien que mon rôle premier soit de transmettre les vibrations et de soumettre des informations, il est impossible de séparer cet aspect de l’accompagnement émotionnel. Mes clients ne viennent pas seulement pour obtenir des ressentis, et aussi dans l'optique d'être entendus, pour partager une partie de leur caisse avec une personne qui ne les jugera pas. Dans ce sens, la voyance en oracle se rend plus une forme de psychothérapie chinoise, un endroit où les émotions peuvent être accueillies et transformées. Je remarque entre autres que des tonnes parent sont à la recherche de sens. la structure contemporaine, avec ses exigences et son rythme immodéré, laisse une petite quantité de place à l'analyse. Les gens sont perdus dans des règlements journalières, dans une action de recherche réguliere de performance, et finissent voyance par mail 10 euros par se couper de leur essence. Ils traversent un vide, une congés de direction, et aspirent à travers la guidance de voyance une tirelire pour se recentrer. Souvent, ils me requièrent : « Quel est le but de ma vie ? », « Suis-je sur le bon choix ? ». Ces questions traduisent un besoin profond de découvrir un alignement, de reconnecter avec quelque chose de plus grand, de plus spirituel. Dans ces cas-là, je leur nous adjure de se reconnecter à leur feeling, à entendre les sensations de les messages que la vie leur dépêche. La cartomancie pourrait les diriger, mais la réelle transformation vient d’eux-mêmes, de leur compétence à demander son avis à leur propre discerné. En tant que voyant, mon rôle est de leur rappeler qu’ils ont en eux les moyens pour affronter les défis, qu’ils ne sont jamais sérieusement seuls sur leur chemin. Je leur souviens l’importance de se recentrer, de prendre du temps pour ces sujets, pour penser, pour se reconnecter à la nature, pour trouver du sens dans les petites choses du quotidiennement. Les perturbations de mes patients sont multiples, mais elles ont bien souvent un point commun : une vaste quête de musicothérapie. Derrière chaque demande se cache une envie d’apaiser une douleur, de démêler une circonstance qui les fait pâtir. Cette désespoir est souvent associée à des collègues toxiques, à des schémas qui reviennent qui les empêchent de s’épanouir. En travaillant sur ces problématiques, je les nous assiste pour connaitre les sources de leur mal-être, à suivre conscience des dynamiques qui se jouent dans leur vie. Cela demande du courage, car il n’est jamais facile de savourer en face ses propres blessures, mais c’est la plupart du temps le 1er pas vers le rétablissement.

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